Hollande n’a pas compris que se libérer des marchés revenait à se libérer de la dette et du déficit.

En 1981, il avait fallu 2 ans pour que la politique socialiste soit assez catastrophique pour que la vapeur s’inverse, nous n’avons pas aujourd’hui la marge de manœuvre budgétaire de l’époque. En annonçant un accroissement des dépenses de l’Etat compensé par l’impôt mais sans économie de fonctionnement, l’Etat PS, qui prétend pouvoir gouverner, organise une catastrophe rapide pour la France.

C’est cette idéologie qui leur interdit d’accepter la règle du bon sens, la règle d’or.

Quand Hollande annonce vouloir de la croissance, il parle de dépense publique pas de croissance des exportations par les entreprises. Ces dépenses seront financées par l’impôt : hausse des prélèvements salariaux, donc baisse des salaires, pour la retraite à 60 ans, 50 milliards d’impôt supplémentaire prit sur les niches fiscales comme l’aide à domicile, écrasement fiscale des classes moyennes qui se verront plus paupérisé… L’Etat PS aime la croissance par la consommation mais il l’euthanasie par sa politique fiscale. La croissance par l’offre des entreprises vers l’exportation ? L’Etat PS va achever les jeunes entreprises par le doublement des prélèvements sociaux sur les entrepreneurs, les artisans en souffriront aussi. L’Etat PS n’aime pas l’entrepreneur.

Quant au soi-disant soutien de Mario Draghi, ce dernier parle de croissance par plus de libéralisme et de libre échange pas par la dépense publique de l’Etat PS.

Creusement de la dette, pas d’économie dans le budget de l’Etat PS, c’est la gueule de bois assuré en une semaine, les marchés seront là pour attendre l’Etat PS de Hollande au tournant et le choc sera rude.

 Nul personne qui pense que la dette doit être combattu ne peut sérieusement pensée que l’Etat PS représente un semblant de solution, personne. Avec Nicolas Sarkozy, la raison primera avec la réduction du déficit et l’investissement dans l’industrie exportatrice pour aller chercher la croissance là où elle est.

A bientôt.

Grégory Sansoz