A Vénissieux, les socialistes tournent le dos à la politique sécuritaire des communistes.

A lire aujourd’hui dans le progrès un article sur la montée des menaces et agressions envers nos soldats du feu. Inutile de dire la révolte que ce genre de comportement soulèvent chez moi et j’en suis certains chez vous. Rajoutons à cela les braquages et autres débordements qui inquiètent les lyonnais et l’ensemble des habitants du Grand Lyon. Enfin pourrions-nous espérer une prise de conscience de la part des socialistes qui sont aux affaires. Enfin pourrions-nous accepter de leur part une politique de prévention et de dissuasion ? Comme la mise en place de système de mobilier urbain empêchant un véhicule de défoncer la vitrine d’une prestigieuse boutique nommée Zilli dans une rue qui était sensée devenir le temple du lyonnais et aurait dû être équipée en conséquence. On aurait pût s’attendre, face à la recrudescence des braquages, à la mise à disposition de système de dissuasion et de protection des forces de police municipale de type arme à feu ? Ce n’est pas le cas à Lyon. En résumer on aurait pût espérer de la part des socialistes du Grand Lyon une prise de conscience et la mise en place de moyens de réponse proportionnels à la menace ?

Et bien non, les socialistes vont dans l’autre sens ! Dans la déprotection des populations. Les socialistes ont pour volonté d’empêcher l’utilisation de flash ball par la police municipale de Vénissieux. Je ne veux en rien stigmatiser cette ville mais le besoin d’équipement de dissuasion non létal mais puissant me parait plutôt évident dans ce secteur.
Donc voilà les socialistes partis en guerre contre « la politique ultra sécuritaire » des communistes. C’est un coup à voir rouge même pour un UMP comme moi.

A bientôt.

Grégory Sansoz