Luttons contre l’extrémisme violent de gauche dont François Hollande est solidaire.

Agression d’un militant UMP par un membre de la CGT à Fos sur Mer. Agression de sympathisants FN qui avaient déchiré un tract distribué par des membres du Front de Gauche à Lyon, un haut responsable jeune du FDG ayant fini en garde à vue. Tabassage du Président du MET, syndicat étudiant de droite, par l’extrême gauche à Tolbiac. Chant appelant à pendre les militants UMP entendu lors d’un tractage sur Lyon. Il est clair que l’extrême gauche  se sent pousser des ailes et étale son extrémisme violent.

Mais ce matin lors du tractage des Jeunes UMP autour de Michel Havard devant le fameux Centre Commercial de Confluence ma surprise s’est mélangée de colère en voyant des militantes MJS venir renforcer les deux militants Front de Gauche perdu au milieu d’une nuée de militant Jeunes UMP au cri de « trop de Sarkoziste, la gauche solidaire ». Désolé de mobiliser 10 fois plus de personnes que eux, ils devraient peut être se poser des questions…

Je vous le dis, je ne tolère plus cette scandaleuse solidarité de gauche. Si François Hollande se dit solidaire du Parti Communiste, il doit être solidaire de toutes les horreurs que cela représente. Il doit être solidaire du programme du Front de Gauche.

La droite maintient un cordon sanitaire avec l’extrême droite, contrairement à ce que dit une gauche qui s’autoproclame « camps des gentils ». Mais pendant ce temps la gauche ne se prive pas de se compromettre avec les violences citées ci-dessus. Et puis non la Commune de Paris n’est pas une belle histoire romantique Monsieur Mélenchon, c’est une révolte sanglante et extrémiste contre la IIIe République de Gambetta qui dû  fuir Paris dans sa fameuse montgolfière.

Quand je vois ce spectacle dans la rue. Quand j’entends ses mots sur le terrain, c’est cri d’injustice et de colère qui m’envahit.  Je ne fais pas de différence entre extrême-gauche et extrême-droite, c’est les mêmes fausses solutions pour l’avenir de la France.

Française, français, condamnez la violence d’extrême gauche dont le PS et François Hollande se disent solidaire, tout comme est condamné la violence d’extrême-droite, cette impunité n’est pas tolérable.

Voter Hollande, c’est voter Mélenchon, c’est approuver cette violence.