Il y a quelques semaines, je m’enthousiasmais pour le salon Innorobo et ses 10 000 visiteurs, premier salon européen de la robotique lançant dans le landerneau de la droite lyonnaise l’idée d’un projet lyonnais de leadership sur ces nouvelles technologies qui entre de plus en plus dans notre vie quotidienne. Ce vœu d’un Lyon Capitale Européenne de la Robotique se voit aujourd’hui renforcé par l’action d’un des moteurs entrepreneurial lyonnais de cette ambition, Bruno Bonnell qui a à la tête de Robopolis vient de mettre la main sur le leader espagnole de la distribution de robotique de service Global Electronic Solutions. La partie entrepreneuriale de ce vœu se met en place et doit être densifié et soutenu par la recherche et l’Université maintenant.
Nous avons une carte à jouer pour l’avenir, une carte qui doit être portée par la jeunesse, une carte qui suit la logique de la tradition lyonnaise en matière d’industrie mécanique et soutiendra la création d’emploi non délocalisable car innovant.
Avec la liaison Lyon-Turin qui doit ouvrir le champ de vision de Lyon au-delà des Alpes, c’est un projet que je désire pousser, avec vous, si vous le voulez.
A bientôt.
Grégory Sansoz