La politique familiale dans le colimateur de la fiscalisation.

Tout le monde le dit, il faut réduire les dépenses. Alors la gauche s’y attaquent mais fait toujours la même erreur. Réduire les dépenses pour eux c’est reprendre par l’impôt, c’est fiscaliser.L’impôt est là pour leur permettre de financer leur idéologie. C’est leur logiciel.

Cette semaine, c’est la politique familiale qui est attaquée. Oui son financement pose problème, oui elle pèse sur le travail. Mais vu le nombre de naissance et le taux d’emploi des femmes en France c’est un succès. Je n’aime pas l’idée qu’on fiscalise le fait d’avoir des enfants.
Plus que tout je suis certain que c’est encore les classes moyennes qui vont payer.

J’ai beaucoup échangé avec les habitants de mon quartier sur le sujet.

  • Les gens sont conscient de la situation et sont prêt à faire des efforts mais l’impôt lié à l’enfant leur parait injuste.  D’ailleurs, un effort sur les dépenses plus que sur l’inventivité fiscale serait apprécié.
  • Les attaques sur la demi-part fiscale des étudiants révoltent.
  • La possible intégration des aides de la politique familiale dans l’impôt sur le revenu fait craindre à certains de devenir imposable ou de changer de tranche.

Ma sensibilité Droite Sociale s’inquiète énormément de l’approche fiscale de la question par le gouvernement et j’incite les citoyens a être prudent sur ce qui va être fait. C’est votre responsabilité.

Grégory Sansoz